Ma revue de presse perso !
Info ou intox ?
A lire en cliquant ICI

France Dimanche


Plus de 13 millions d'albums vendus dans le monde entier, dont 2,5 en France :
André Rieu est le roi du violon.
Auhourd'hui, il nous offre son nouveau chef-d'oeuvre, La Vie est belle,
qui caracole déjà en tête du hit-parade des albums.

Une fabuleuse invitation au bonheur et à la joie de vivre !  Dans cette composition, le violon magique navigue des airs du folklore russe aux rythmes tziganes, des standards écossais aux mélodies hongroises, en passant par Glenn Miller, pour finir avec une
version unique du Boléro de Ravel.

Un vrai voyageà travers le monde, hors du temps et de l'espace, qui donne envie de valser.

Mais c'est sur scène qu'André réalise, à chaque fois, son rêve le plus cher:
apporter la joie de vivre à son public ! 

Chaque soir, des milliers de visages s'émerveillent, des regards s'illuminent de bonheur.
Autant de preuves d'amour et d'admiration qui font d'André le plus heureux des hommes !

Nous avons souhaité en savoir plusce phénomène musical. Pour cela, nous avons suivi "le roi du violon" lors de sa tournée internationale et il a accepté, en exclusivité
pour France Dimanche, de dévoiler son intimité...

Et l'envers du décor est aussi fascinant que son immense succès. Mais ce qui frappe le plus lorsqu'on découvre les coulisses, ce sont les sacrifices qu'André consent pour ses fans:
"Pour mon public, je vis un enfer", nous a-t-il même confié.
Mais un enfer à lui, qu'il a choisi et qu'il aime plus que tout. Car jamais André ne
pourrait se passer des montées d'adrénaline que lui procure la scène.

Un plaisir et un enthousiasme toujours renouvelés, qui se lisaient sur son visage lors de son passage à la Halle Tony Garnier, à Lyon, où nous avons assisté à son concert magistral. 
Toujours sur les routes, André vit essentiellement pour sa musique. A tel point que,
en tout et pour tout, il n'arrive à voir sa femme et ses enfants qu'un mois par an.



Mais sa famille admet qu'il donne la priorité à sa passion et à sa carrière. Car André dirige une équipe de plus de cent cinquante personnes, dont quarante musiciens salariés à l'année. Une véritable tribu, qui voyage dans deux bus, à l'effigie d'André et de son orchestre.

Le patron joue les chefs de clan, ne quittant jamais ses troupes. Et, pour pouvoir
donner le meilleur de lui-même à son fidèle public, André se plie à une stricte
discipline de travail. Afin de garder la forme, il a même dû transformer un bus en salle de sport.
Et, tous les matins, vers 8h30, il fait deux heures de gymnastique avec son entraîneur personnel.

Son seul luxe, c'est de s'éclipser dans sa loge pour dormir une heure avant chaque concert.
A son réveil, il cajole ses Stradivarius.
Des violons si précieux qu'un garde du corps veille sur eux 24 heures sur 24.

Ce rituel achevé, vers 20h30, le rideau se lève, et André donne le premier coup d'archet.
Il se tourne vers son orchestre, qui lui obéit à la baguette.

C'est alors parti pour deux heures de valses effrénées. Un lâcher de ballons et de pailettes indique la fin du concert. Mais le public comblé ne cesse de scander:"Une autre, une autre...", et André enchaîne les rappels. Puis, le rideau tombe enfin et tout monde repart le coeur en joie.

Vient ensuite l'heure de la détente, une pause bien méritée pour toute l'équipe, qui se retrouve autour d'un dîner. Cuisiniers, musiciens, techniciens reparlent de cette belle soirée.
Enfin chacun regagne sa chambre pour une nuit pleine de rêves.

Puis, le jour se lève, et tout le monde repart pour une nouvelle aventure...
E
ncore et toujours plus belle !

Caroline Berger & Nicolas Denizon - Frarnce Dimanche